La justice camerounaise a de nouveau sévi dans le cadre de l’opération épervier, cette vaste opération initiée par le chef de l’Etat camerounais, Paul Biya, en vue de lutter contre la corruption et les détournements de fonds publics, phénomènes qui gangrènent gravement le pays.

Dimanche dernier a été pour la Russie un jour d'élections locales dans 77 régions du pays. Cinq ont élu leurs gouverneurs (la première fois en 8 ans). Six ont élu les parlements locaux.

Avec l'arrivée au pouvoir de l'Aube Dorée le 17 juin dernier, la Grèce voit apparaitre une extrême droite de plus en plus importante. Avec une économie au plus bas, le pays d'Antonis Samaras laisse place à un parti aux revendications bien précises et au pouvoir bien réel. Dernier fait relaté, l’occupation du théâtre qui joue en ce moment Corpus Christi. Quand les fondamentalistes, la police et les extrémistes ne font plus qu'un, la Grèce s'embrase.

Farouche opposante écologique du Kremlin, Evguenia Tchirikova espère gagner les élections municipales de Khimki, malgré un harcèlement quotidien de la part de l'État. Retour sur une femme qui tient tête au gouvernement Poutine.

Ancien satellite soviétique, la Biélorussie, dirigée d'une main de fer par Alexandre Loukachenko, reste le dernier vestige d'une époque révolue. Coincée entre une Union Européenne opposée à ses idées et une Russie rivale et matriarche, M. Loukachenko demeure seul dans un pays hors du temps.

Au Venezuela, Hugo Chávez a été réélu avec 54,4% des voix. Capriles a reconnu sa défaite et réaffirmé les valeurs de la démocratie : "la parole du peuple est sacrée" a-t-il déclaré.

Ce dimanche, le Vénézuela sera témoin d'un combat électoral entre Hugo Chavez le Bolivarien et Henrique Capriles, el flaquito . Décryptage de la bonne surprise que l'opposition vénézuélienne attendait.

Le Traité, les Verts n'en veulent pas. Le Front de gauche non plus. L'aile gauche du Parti socialiste s'en passerait bien. Alors François Hollande tente de faire rentrer dans le rang les élus socialistes récalcitrants. A se demander si le Président contrôle (encore) la situation...

Les Argentins multiplient les revendications à l'encontre du gouvernement de Cristina Kirchner. La manifestation du 13 septembre incarne un ras-le-bol général.

La manifestation qui s'est tenue à Madrid mardi dernier montre encore une fois une population espagnole en détresse et impuissante face aux nouvelles mesures de rigueur du gouvernement de Mariano Rajoy. Des poings levés, des cris, des sifflets et de violents affrontements entre policiers et manifestants au cœur de la place Neptune à Madrid, voilà le tableau qui se dessinait dans la capitale espagnole ce mardi 25 septembre. On pouvait lire sur les pancartes « Rescatemos la...