En 2006, Damian Grammaticus révélait sur la BBC que « les préservatifs sont trop grands pour les pénis indiens ». Les standards internationaux n’ont en effet pas pris en compte la particularité du pays d’Extrême Orient. Après deux ans d’études et des tests sur plus d’un millier de volontaires, les Indiens (environ 60%) se retrouveraient avec une largeur de pénis inférieur de 3 à 5 cm sur l’échelle mondiale. L’idée n’est pas de pointer du doigt les hommes du pays du Kama Sutra, mais bien de révéler le danger de ces préservatifs non adaptés. L’Inde, qui selon Reuters aurait le plus haut taux de cas de sida dans le monde, devrait donc affronter cette disproportion afin de veiller au bien-être de ses habitants mâles qui, souvent honteux, n’osent pas demander de protection adaptée à leurs besoins et préfèrent persévérer dans les rapports non-protégés.
Le problème, c’est que cette étude a amené les Indiens à s’interroger sur leurs compétences au lit, les faisant hésiter sur leurs performances. La physicienne que l’on surnomme « Doc Gurley », révèle que cette étude aurait été réalisée pour les hommes ayant des rapports sexuels avec des personnes du même sexe. Interrogés, la plupart ont révélé que leurs partenaires les satisfaisaient entièrement. Sunil Merah, éditeur de la version indienne du magazine pour hommes Maxim, confirme ces propos dans divers interviews en attestant que « malgré ce problème de taille, qui n’est pas en soi un véritable problème, les Indiens se débrouillent très bien quels que soient leur orientation sexuelle ». Times of India prolonge l’étude dans un article de Biben Laikhuram où les différents préservatifs présents sur le marché sont présentés comme les nouveaux moyens de plaisir du sexe sans danger. Le site CondomKing, lui, met à disposition divers modèles adaptés aux dimensions indiennes et pouvant être commandés en ligne et sans complexes.
Le problème, c’est que cette étude a amené les Indiens à s’interroger sur leurs compétences au lit, les faisant hésiter sur leurs performances. La physicienne que l’on surnomme « Doc Gurley », révèle que cette étude aurait été réalisée pour les hommes ayant des rapports sexuels avec des personnes du même sexe. Interrogés, la plupart ont révélé que leurs partenaires les satisfaisaient entièrement. Sunil Merah, éditeur de la version indienne du magazine pour hommes Maxim, confirme ces propos dans divers interviews en attestant que « malgré ce problème de taille, qui n’est pas en soi un véritable problème, les Indiens se débrouillent très bien quels que soient leur orientation sexuelle ». Times of India prolonge l’étude dans un article de Biben Laikhuram où les différents préservatifs présents sur le marché sont présentés comme les nouveaux moyens de plaisir du sexe sans danger. Le site CondomKing, lui, met à disposition divers modèles adaptés aux dimensions indiennes et pouvant être commandés en ligne et sans complexes.
« Tu sais, l’essentiel c’est d’être efficace et moi je peux te garantir que la satisfaction est totale, je me fous d’avoir selon les normes internationales un « petit pénis », je viens du pays où les positions sont plus importantes que la taille, autant vous dire que l’on se débrouille ! Mais il est vrai qu’adapter les préservatifs à des tailles plus appropriées est une bonne mesure » insistera un Indien préférant garder l'anonymat, le sexe restant toujours tabou à l'autre extrémité du monde.