Le 9 octobre dernier, une jeune fille de 15 ans était victime de terroristes talibans. Celle-ci faisait campagne pour le droit à l'éducation pour les jeunes Pakistanaises. La réponse des terroristes a été sans appel : Malala Yusufzai a reçu une balle dans la tête. Malgré les risques, elle n’a cessé, depuis 2009, de dénoncer haut et fort la discrimination qui prive des millions d’adolescentes et de femmes des droits les plus élémentaires.
Grâce aux efforts de la jeune femme, le gouvernement du Pakistan a fait, le 13 novembre dernier, son premier pas vers une scolarisation obligatoire. Une législation qui impose une contravention de 500 $ si un enfant ne va pas à l’école.
Selon les dernières informations, Malala est actuellement hospitalisée en Grande-Bretagne où elle a subi une chirurgie pour reconstruire son crâne. Elle est sur la voie de la guérison.
Au Canada, la pétition pour nobelliser Malala Yusufzai, initiée par Tarek Fatah, fondateur du Congrès Canadien des Musulmans, a été signée par de nombreux pays, tels que les États-Unis, la Grande-Bretagne, l’Australie, le Brésil, l’Inde et le Pakistan. Le Premier ministre du Canada, Stephen Harper, a fait l’éloge de Malala, la décrivant comme une « jeune femme déterminée qui a fait beaucoup d’efforts pour promouvoir l’éducation et les droits des femmes dans son pays natal.» La pétition rassemble désormais plus d'un million de personnes dans le monde, défendant l'éducation pour tous.
Au Canada, la pétition pour nobelliser Malala Yusufzai, initiée par Tarek Fatah, fondateur du Congrès Canadien des Musulmans, a été signée par de nombreux pays, tels que les États-Unis, la Grande-Bretagne, l’Australie, le Brésil, l’Inde et le Pakistan. Le Premier ministre du Canada, Stephen Harper, a fait l’éloge de Malala, la décrivant comme une « jeune femme déterminée qui a fait beaucoup d’efforts pour promouvoir l’éducation et les droits des femmes dans son pays natal.» La pétition rassemble désormais plus d'un million de personnes dans le monde, défendant l'éducation pour tous.
