Bachar al-Assad est de retour, même s'il n'est jamais vraiment parti. Le dictateur syrien est au cœur de toutes les stratégies : la Russie intervient militairement en Syrie pour lutter contre l'État islamique, mais aussi pour soutenir son allié au pouvoir. De John Kerry à David Cameron, on pense désormais que le départ de Bachar al-Assad, s'il est inévitable, peut encore attendre un peu. À peu de choses près, l'homme se montrerait presque fréquentable.
D'ailleurs si le conflit syrien devient un peu trop complexe pour vous, Piero s'est fait un malin plaisir de vous expliquer tout ça :
Pendant ce temps, Herji nous dit que les Européens prennent leurs responsabilités ainsi que des mesures draconiennes. Cela reste à voir.