« Prends le pouvoir sur moi Jean-Luc Mélenchon ! ». Il y a un un peu moins d'un an, la blonde Rebecca Carlborn fredonnait cette chanson, et apportait une touche de fraîcheur à une campagne présidentielle quelque peu morose. Un projet réalisé par les astucieux créatifs de TIG Studio (sur une idée originale de l'agence Passage Piéton). Réalisateurs, graphistes, designers, scénaristes... Avec comme mot d'ordre « mettre l'imagination au service du pixel ».
L'idée de créer un vrai-faux générique de James Bond est vite apparue comme une évidence pour ces mordus de cinéma. Dans le cadre de leur concept « carte blanche », (des projets internes à réaliser « juste pour le plaisir », lancés à partir de propositions originales de membres du studio), naît l'idée d'Obsidian Kiss. Titre de « leur » James Bond, l'équipe se met en tête de construire le projet de A à Z. Un excellent moyen pour leur société de prouver leurs capacités artistiques, d'imposer une « patte » et de démontrer leur savoir-faire. Car les jeunes créatifs ne s'arrêtent pas à la réalisation du générique obsédant sorti sur le web — résultat de 9 mois de labeur — le 27 février. « Il ne fallait pas se contenter d'une simple vidéo, il fallait générer un concept global ». Pas de bon générique james-bondien sans un solide scénario dévoilant l'ambiance dudit film. L'équipe s’attelle donc à l'écriture du long-métrage, afin d'avoir une direction artistique à suivre pour la réalisation.
L'idée de créer un vrai-faux générique de James Bond est vite apparue comme une évidence pour ces mordus de cinéma. Dans le cadre de leur concept « carte blanche », (des projets internes à réaliser « juste pour le plaisir », lancés à partir de propositions originales de membres du studio), naît l'idée d'Obsidian Kiss. Titre de « leur » James Bond, l'équipe se met en tête de construire le projet de A à Z. Un excellent moyen pour leur société de prouver leurs capacités artistiques, d'imposer une « patte » et de démontrer leur savoir-faire. Car les jeunes créatifs ne s'arrêtent pas à la réalisation du générique obsédant sorti sur le web — résultat de 9 mois de labeur — le 27 février. « Il ne fallait pas se contenter d'une simple vidéo, il fallait générer un concept global ». Pas de bon générique james-bondien sans un solide scénario dévoilant l'ambiance dudit film. L'équipe s’attelle donc à l'écriture du long-métrage, afin d'avoir une direction artistique à suivre pour la réalisation.
Un projet ambitieux
Taper dans l'oeil de Barbara Broccoli — productrice des James Bond — et d'Eon Société, l'équipe n'ose pas y croire. Pourtant, ils ne cachent pas penser que « l'univers très riche développé par Ian Fleming peut être modernisé ». S'ils se gardent bien de dévoiler le dénouement de leur James Bond, l'espion anglais « névrosé et plongé dans ses propres tourments » y affronte un Michael Shannon « beaucoup plus important que n'importe quel bad-ass de la licence » assurent-ils. Un avant-goût prometteur. Et qui mieux qu'une équipe de jeunes créatifs Français pour « oser beaucoup plus qu'un simple classicisme redondant » ? Mais d'abord, il faudra attirer l'attention des passionnés de l'agent du MI6. Déjà relayé par des médias sérieux (Fubiz, Radio Monaco, Cinemateaser), le « buzz » commence à faire son effet, et les producteurs en herbe reçoivent quelques centaines de messages de félicitations pour leur travail.
Première partie d'un diptyque, Obsidian Kiss aura très vite une suite, sur laquelle l'équipe travaille déjà. Et bientôt un making-of, pour s'occuper de décrypter cette aventure audiovisuelle originale et audacieuse, peu banale dans le paysage médiatique français.
Première partie d'un diptyque, Obsidian Kiss aura très vite une suite, sur laquelle l'équipe travaille déjà. Et bientôt un making-of, pour s'occuper de décrypter cette aventure audiovisuelle originale et audacieuse, peu banale dans le paysage médiatique français.