Une équipe. Une envie. Un devoir. Depuis maintenant 10 mois, Le Journal International surfe sur une vague positive avec une croissance à la hauteur de nos efforts. Enregistrant 2 000 visites en septembre, ce mois de juin verra un tsunami de 75 000 visites uniques balayer la rédaction. Et ce tsunami, nous allons le surfer.
Comme les Z-Boys de dogtown, la rédaction a réussi à surpasser les mauvais courants, arrivant à un seuil de professionnalisme qui nous permettra, dans un futur proche, de nous imposer dans notre domaine : l'International.
Mais là où la rédaction du Journal International puise sa force et se démarque, c'est bien dans son concept ; au départ composé de 75 correspondants, nous venons d'agrandir notre petite famille avec l'arrivée de 130 correspondants à travers le monde. De quoi faire baver plus d'une rédaction.
Oui, 130. Une nouvelle équipe, qui dès la rentrée 2013 vous permettra de suivre l'actualité de pays souvent délaissés. Dans la famille « pays qui passe à la trappe », je demande Malaisie, la fille. Ou même Japon, le père. Ou encore Palestine, la cousine. Et pourquoi pas Chili, le fils ?
À l'inverse de nos confrères depuis longtemps ancrés dans le paysage médiatique, nous voulons vous faire voyager, vous faire rêver, voire vous interpeler. Un tour du monde de l'actualité.
Cette actualité internationale qui nous passionne, nous, jeunes journalistes qui trémoussons à chaque tweet #MandelaDead.
Nous voulons vous faire découvrir des saveurs, des cultures différentes, des systèmes politiques opposés au nôtre, des modes de vie complètement inédits.
Récemment, vous avez pu véritablement voir la force de notre réseau de correspondants, alors que les rédactions s'affolaient pour savoir quel avion décollait pour Istanbul, notre correspondante se réfugiait, appareil photo à la main, avec les manifestants de la place Taksim. Même exemple pour les manifestations au Brésil.
Grâce à cette équipe, à nos correspondants bravant parfois certains dangers, nous vivons l'Histoire. L'Histoire que nos enfants liront dans leur manuel scolaire. Taksim, Boston, Sao Paulo, Pyongyang, Madrid, Prague. Et nous pourrons leur dire « nous y étions ».
Comme les Z-Boys de dogtown, la rédaction a réussi à surpasser les mauvais courants, arrivant à un seuil de professionnalisme qui nous permettra, dans un futur proche, de nous imposer dans notre domaine : l'International.
Mais là où la rédaction du Journal International puise sa force et se démarque, c'est bien dans son concept ; au départ composé de 75 correspondants, nous venons d'agrandir notre petite famille avec l'arrivée de 130 correspondants à travers le monde. De quoi faire baver plus d'une rédaction.
Oui, 130. Une nouvelle équipe, qui dès la rentrée 2013 vous permettra de suivre l'actualité de pays souvent délaissés. Dans la famille « pays qui passe à la trappe », je demande Malaisie, la fille. Ou même Japon, le père. Ou encore Palestine, la cousine. Et pourquoi pas Chili, le fils ?
À l'inverse de nos confrères depuis longtemps ancrés dans le paysage médiatique, nous voulons vous faire voyager, vous faire rêver, voire vous interpeler. Un tour du monde de l'actualité.
Cette actualité internationale qui nous passionne, nous, jeunes journalistes qui trémoussons à chaque tweet #MandelaDead.
Nous voulons vous faire découvrir des saveurs, des cultures différentes, des systèmes politiques opposés au nôtre, des modes de vie complètement inédits.
Récemment, vous avez pu véritablement voir la force de notre réseau de correspondants, alors que les rédactions s'affolaient pour savoir quel avion décollait pour Istanbul, notre correspondante se réfugiait, appareil photo à la main, avec les manifestants de la place Taksim. Même exemple pour les manifestations au Brésil.
Grâce à cette équipe, à nos correspondants bravant parfois certains dangers, nous vivons l'Histoire. L'Histoire que nos enfants liront dans leur manuel scolaire. Taksim, Boston, Sao Paulo, Pyongyang, Madrid, Prague. Et nous pourrons leur dire « nous y étions ».