Il y a trente ans, jour pour jour, le jeudi 19 septembre 1985 à 7h19 du matin, le Mexique a connu un de ses plus violents tremblement de Terre. Les États mexicains de Guerrero, Michoacan et Jalisco ont étés touchés ainsi que l'imposante capitale de Mexico, la plus endommagée. D'une durée d'à peine plus de deux minutes et d'une magnitude de 8,1 sur l'échelle de Richter, ce tremblement a laissé derrière lui plus de 7 000 morts et d'énormes dégâts matériels.
Pour commémorer le trentième anniversaire de cette triste catastrophe, le 19 septembre 2015, une simulation de tremblement de Terre aura lieu dans tout le pays. Les sirènes d'alarme vont se déclencher simultanément et la population procédera à une évacuation massive pour se réunir sur les plus grandes places de la ville où ils se trouvent. Sur la grande place du centre historique de la capitale, le Zocalo, sont attendues des centaines de personnes qui devraient se rejoindre devant un gigantesque drapeau mexicain.
Cette simulation est donc une manière de se souvenir du tragique événement et de rendre hommage aux disparus. Elle est toutefois également perçue comme un entraînement de préparation à l’éventualité d'un nouveau phénomène naturel identique. L'exercice d'évacuation durera en tout trente minutes.
Pour commémorer le trentième anniversaire de cette triste catastrophe, le 19 septembre 2015, une simulation de tremblement de Terre aura lieu dans tout le pays. Les sirènes d'alarme vont se déclencher simultanément et la population procédera à une évacuation massive pour se réunir sur les plus grandes places de la ville où ils se trouvent. Sur la grande place du centre historique de la capitale, le Zocalo, sont attendues des centaines de personnes qui devraient se rejoindre devant un gigantesque drapeau mexicain.
Cette simulation est donc une manière de se souvenir du tragique événement et de rendre hommage aux disparus. Elle est toutefois également perçue comme un entraînement de préparation à l’éventualité d'un nouveau phénomène naturel identique. L'exercice d'évacuation durera en tout trente minutes.
Crédit Andrés Garay