L’état actuel ne me permet pas de vous faire un édito digne de ma personne : pas de Pokémon, ni de canard et encore moins d’unijambiste coureur de jupons.
Pour certains, il est encore très tôt, pour d’autres, il est très tard. Pour l’équipe du Journal International, la notion d’espace-temps a disparu depuis le 31 mai, aux alentours de 21h00. Comme vous pouvez le constater, le site a fait peau neuve. Nouveau look, nouvelles rubriques, nous sommes à l’aube d’une nouvelle ère : celle de la professionnalisation.
Ce site, que nous avons créé en septembre dernier, est devenu au fil des jours la véritable vitrine de notre version papier…qui est en préparation. Mais pour les plus fidèles, notre victoire sur MyMajorCompany et le soutien de partenaires privés nous assurent un retour dans les kiosques dès septembre, avec une Une digne des plus grands.
Sur cette version web 2.0, vous pourrez retrouver le dessin de la semaine fait par nos superbes et non moins talentueuses dessinatrices. Mais également, comme je vous le disais la semaine dernière, une accentuation du pôle traduction, avec l’arrivée de l’allemand (vily !).
Sur votre droite, en haut (en haut, j’ai dit !), le hors-série « Quand nous sentirons-nous européens » vous est proposé, pour la modeste somme de 1 €. Au menu, Italie, Espagne, Suisse, Danemark, Roms et Identitaires Européens. Du beau monde !
Mais la grande nouveauté, c’est bien l’agrandissement de l’équipe. Japon, Irlande, Chine, Birmanie, Thaïlande, un véritable tour du monde de l’actualité vous attendra tous les jours, dès 7h30, 13h et 18h. Et pour vous donner dès à présent l’eau à la bouche, voici le programme de ce samedi : dès 11h, retour sur les manifestations qui ont secoué Istanbul avec notre correspondante sur place, puis partez à la découverte de Qandisha.ma, un « magazWine » pas comme les autres, avec une interview de Fedwa Misk, fondatrice du site. Pour terminer la journée, partez en Irlande et Moore Street, l’ancien quartier général de l’indépendance de l’île au mouton.
Voilà, oui, ce n’est pas top, mais c’est comme ça. Et comme dirait Pierre Billon, « je me sens définitivement comme une bamba triste »
Pour certains, il est encore très tôt, pour d’autres, il est très tard. Pour l’équipe du Journal International, la notion d’espace-temps a disparu depuis le 31 mai, aux alentours de 21h00. Comme vous pouvez le constater, le site a fait peau neuve. Nouveau look, nouvelles rubriques, nous sommes à l’aube d’une nouvelle ère : celle de la professionnalisation.
Ce site, que nous avons créé en septembre dernier, est devenu au fil des jours la véritable vitrine de notre version papier…qui est en préparation. Mais pour les plus fidèles, notre victoire sur MyMajorCompany et le soutien de partenaires privés nous assurent un retour dans les kiosques dès septembre, avec une Une digne des plus grands.
Sur cette version web 2.0, vous pourrez retrouver le dessin de la semaine fait par nos superbes et non moins talentueuses dessinatrices. Mais également, comme je vous le disais la semaine dernière, une accentuation du pôle traduction, avec l’arrivée de l’allemand (vily !).
Sur votre droite, en haut (en haut, j’ai dit !), le hors-série « Quand nous sentirons-nous européens » vous est proposé, pour la modeste somme de 1 €. Au menu, Italie, Espagne, Suisse, Danemark, Roms et Identitaires Européens. Du beau monde !
Mais la grande nouveauté, c’est bien l’agrandissement de l’équipe. Japon, Irlande, Chine, Birmanie, Thaïlande, un véritable tour du monde de l’actualité vous attendra tous les jours, dès 7h30, 13h et 18h. Et pour vous donner dès à présent l’eau à la bouche, voici le programme de ce samedi : dès 11h, retour sur les manifestations qui ont secoué Istanbul avec notre correspondante sur place, puis partez à la découverte de Qandisha.ma, un « magazWine » pas comme les autres, avec une interview de Fedwa Misk, fondatrice du site. Pour terminer la journée, partez en Irlande et Moore Street, l’ancien quartier général de l’indépendance de l’île au mouton.
Voilà, oui, ce n’est pas top, mais c’est comme ça. Et comme dirait Pierre Billon, « je me sens définitivement comme une bamba triste »
