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Les juges de la Cour constitutionnelle de transition se sont opposés, vendredi 24 juillet, au maintien de la loi électorale qui excluait du processus électoral tous les réfugiés centrafricains vivant dans les pays voisins. Les parlementaires évoquaient à l’appui de cette loi « le risque de fraudes et des problèmes techniques ». A la suite de cette décision constitutionnelle, les réfugiés centrafricains, à savoir 10 % du corps électoral selon le Haut Commissariat de l'ONU, devront voter aux prochaines élections présidentielles du 18 octobre prochain.
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